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mercredi 8 juin 2011

(Single 4/6) "A Notebook at random" (et son clip de qualité supérieure)

Publié par 49 SWIMMING POOLS à 13:36 1 commentaire:

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REVUE DE PRESSE premier album (EXTRAITS)

KEYBOARDS RECORDINGS :

"Il est des chansons dont l'évidence suffit à combler une journée. Une mélodie, une humeur, une simple progression d'accords, et tout s'illumine... Le premier album de 49 SWIMMING POOLS recèle de ces pépites. L'ensemble, vibrant de lumière naturelle, fonctionne avec une justesse rare ; les chansons se gravent durablement dans nos c(h)oeurs et se prêtent admirablement à la saison qui approche. Notre album de l'automne est tout trouvé." (Philippe Ragueneau)

LE MONDE :

Joli miracle dans le genre pop française qui lorgne vers les Anglo-Saxons : le groupe 49 Swimming Pools. Leur album « Triumphs and Disasters, Rewards and Fairytales » a bien compris que la pop, c’est avant tout des chansons dont la trame doit tenir seule. Un piano, quelques guitares, un violoncelle, parfois un petit effet orchestral. C’est élégant, sobre sans sonner anémique. D’une certaine manière, un compromis acoustique entre la bizarrerie fantasque des Flaming Lips et le baroque d’Electric Light Orchestra, avec, pour une fois, une voix française (Emmanuel Tellier) qui ne se révèle pas catastrophique dans l’intonation anglophone. » (Sylvain Siclier)

LES INROCKUPTIBLES :

"Entre Tours et New York, ces Français ont enregistré ce premier album audacieux : certains noms en pâture (d’Andrew Bird à Arcade Fire, en passant par Sufjan Stevens ou Cardinal) permettent de cerner l’indicible – soit le charme, la délicatesse et le caractère hautement volatile de chansons oniriques.

Voulus et produits sans affèterie, ces douze contes de fées pour enfants pas sages se suspendent à un piano comme un équilibriste sur un filin d’acier, puis s’enroulent comme des chats mélancoliques autour de quelques claviers soyeux, ou d’une guitare pudique comme une jeune fille à son premier rendez-vous. La version scénique de l’album s’accompagnera d’un cut-up d’images : celles que l’on feuillette ici, au détour de chaque refrain, sont déjà riches du charme délicat de clichés pâles et tendres." (Christian Larrède)

MAGIC :

Ce premier album frappe par son haut degré d'exigence mélodique et la fort bonne tenue de l'écriture ... Cette recherche d'une forme d'onirisme musical ascensionnel, porté par une voix à la limite de la rupture ou de l'étranglement, n'est pas sans évoquer un cousinage américain avec Mercury Rev ou Sparklehorse." (Matthieu Grunfeld)

MAGIC (web)

«Un projet né il y a deux ans, dans la chaleur d'un studio d'enregistrement, avec l'aide avisée d'Etienne Dutin (Chelsea) et Fabien Tessier. Depuis, une poignée de concerts et un site MySpace bien achalandé ont titillé la curiosité par la grâce d'une pop charmeuse et fragile, aux accents américains (« Deserter's Songs » de Mercury Rev, « The Trials Of Van Occupanther » de Midlake, en guise de cousins éloignés) mais à l'élégance européenne, comme en témoigne en septembre 2009 la sortie d'un premier album enivrant, joliment titré "Triumphs And Disasters, Rewards And Fairytales »

LE NOUVEL OBSERVATEUR :

Le trio, emmené par Emmanuel Tellier, est très convaincant. Un disque de pop-rock très proche d'une certaine production nord-américaine et de groupes comme Arcade Fire ou Wilco. Piano, guitare acoustique, accordéon sur quelques morceaux, une batterie peu bavarde, parfois une petite section de cuivres et une voix à la limite de la rupture. Simple et convaincant. Le groupe se produira à Paris, à l'Européen le 11 novembre (première partie de Peter Walsh, de The Apartments)".

SITE SFR MUSIC :

Ça aurait pu ressembler à une sieste langoureuse au bord de la piscine ou un dimanche après-midi relâche en charentaises. Mais non. On sent qu'une profonde ambition se noue dans la musique des 49 Swimming Pools. Avec leur indie tantôt pop, tantôt rock aux saveurs américaines et baroques aux entournures, un quelque chose s'inscrit dans cette recherche de la beauté dans l'indicible. Dès la première écoute, on comprend que « Triumphs and Disasters, Rewards and Fairytales » n'est pas de ces disques jetables, vite consommés, vite oubliés. « All The Flowers In Your Field » déroule sa mélodie soyeuse comme une pelote de laine au son du piano. Clavecin, clarinette et cuivres à l'appui, « What Becomes Of The Broken Heart" lance l'invitation à une douce et obsédante nostalgie qui interroge l'avenir. L'accordéon traduit parfaitement ce mouvement vers l'obsolescence qui refuse d'abdiquer. Et, le résultat, lui, se révèle tout simplement beau et classieux.

Véritable conte de fées déchues, l'une des forces de l'album réside incontestablement dans cette magie que toutes les compositions d'Emmanuel Tellier agrémentent d'un riche panel de scènes fantomatiques. Avec la voix réverbérée et la petite ritournelle au clavier de I'm Losing (trying to fix it all – part 6), il suffit de fermer les yeux pour s'imaginer une maison abandonnée et hantée par les souvenirs, quelques feuilles mortes qui voltigent au-dessus des toits. Sur la partition guitare acoustique/accordéon de « Don't Cut The Tree », on voit la goutte de pluie qui coule lentement sur la vitre ou ces vieux polaroids lessivés qu'on ressort une dernière fois du tiroir parce qu'on s'accroche à une époque révolue. De toute évidence, l'univers doux et atemporel des 49 Swimming Pools berce en même temps qu'il tisse un hymne à tous les rêveurs. Un petit bijou d'onirisme pour tous les lunatiques qui veulent passer de l'autre côté du miroir ». (Pascal Debomy)

ATTICA :

"Je suis ravi d’apprendre le retour d’Emmanuel Tellier sur la scène musicale française. L'ancien membre de Chelsea (et Melville et Another Country et d’autres encore) proposera le 14 septembre 2009 « Triumphs and disasters, rewards and fairytales » (Elap/Differ-Ant) , le premier album de 49 Swimming Pools. Le groupe est un trio composé également de Etienne Dutin et de Fabien Tessier, fondateurs du label Elap. L’album a été enregistré sur deux ans en Touraine. J’en découvre les extraits laissés sur la page communautaire du groupe. Comme cette « Goodbye Song », véritable petite merveille pop." (Anakin)